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mardi 13 avril 2010

Japon - Tokyo (Ueno, Nippori)


Dodo à 22h hier soir, réveil à 2h du mat' après un des plus horribles cauchemars de ma vie (tortures et mutilations à gogo), puis émergeage définitif vers 6h30: pas mal. Et la météo promet une journée couverte mais chaude, youhou! Pour en profiter, nous décidons de nous rendre au parc de Ueno.


Mais d'abord, une petite visite au grand magasin de jouets Yamashiroya qui se trouve face à l'une des sorties de la gare de Ueno. Première vision de Blythe, première immersion dans les goodies Totoro: rhââââ, ça fait du bien. Puis direction le parc. Bien qu'à la fin de leur floraison annuelle, les cerisiers sont encore très beaux et nous devons presque nous battre pour prendre des photos dessous. Après avoir vainement cherché un resto pour déjeuner, nous nous contentons d'une barquette de nouilles sautées au chou et au gingembre confit que nous mangeons assis sur une pierre au soleil.

Lorsque nous arrivons devant l'entrée du zoo, dont mon Cartoville précisait que son attraction principale était un panda géant du nom de Ling Ling, nous avons la surprise de trouver un panneau précisant: "Il n'y a pas de panda géant dans ce zoo". La réponse de cette énigme nous est fournie par une plaque à l'intérieur: Ling Ling a défunté d'une crise cardiaque au printemps 2008.

Pour le reste, le zoo est très agréable, avec beaucoup d'aires de repos et un monorail qui relie ses deux grandes zones. Mais ça me fait toujours autant de peine de voir de grands animaux sauvages faire les cent pas dans des enclos riquiquis. L'ours blanc, notamment, qui arpente sa corniche sans relâche et sans varier son circuit d'un poil. Je dévaliserais bien les boutiques, notamment en peluches, mais la limite des 20 kilos de bagages (et de mon budget) m'incite à me montrer raisonnable, et je me contente d'un minuscule hamster orange, plus des T-shirts pour mes neveux et une ou deux autres bricoles.

Nous remontons ensuite vers le quartier de Nippori, loin des sentiers battus et rebattus par les touristes. Je ne trouve toujours pas de théière à mon goût dans l'adorable rue de Yanaka Ginza, mais Chouchou et moi y dénichons des baguettes ornées de nos signes astrologiues chinois respectifs. Comme je meurs de faim, nous nous arrêtons ensuite dans un boui-boui où nous dégustons de super menus katsudon pour 1300 yens à peine. Chassés par la fumée de clope des autres clients, nous ne nous y attardons cependant pas.

Le cimetière voisin, qui abrite entre autres la tombe de Natsume Sôseki, me déçoit un peu par son uniformité. Nous n'y faisons qu'un passage assez bref avant de rentrer au ryokan pour une pause-thé bien méritée.

Sieste jusqu'à 19h. Nous ressortons acheter des fruits pour le petit déj' de demain, réserver nos places de Shinkansen pour aller à Kyoto et faire un tour au drugstore où je sélectionne quelques cosmétiques japonais: mascara et gloss de la marque de grande distri de Shiseido + un pot de la fameuse crème DHC Q10. Retour au ryokan, grignotage et surf internet dans la salle commune.

jeudi 14 juin 2007

USA - San Diego (Californie)

Petit déjeuner au resto voisin de l’hôtel. Service affreusement lent et bouffe moyenne, nous irons ailleurs demain matin. Pour éviter de nouvelles frayeurs et ne pas nous prendre la tête, nous avons décidé de nous déplacer avec les transports en commun de San Diego. Nous partons donc à pied jusqu’au Transit Store où nous achetons des pass de deux jours ; puis nous prenons le bus n°7 jusqu’à Balboa Park. La température monte rapidement tandis que nous arpentons les allées du plus grand zoo du monde (qui ne cessent de monter et de descendre). L’habitat des animaux est plutôt spacieux pour ce genre d’endroit, mais je trouve toujours aussi affreux de voir ainsi enfermées des créatures sauvages faites pour aller et venir en liberté dans la nature. Nous marchons jusqu’à ce que nos gorges desséchées et nos estomacs creux nous forcent à nous arrêter pour déjeuner. Puis nous finissons le tour du par cet redescendons vers la sortie en Skyfari, une sorte de téléphérique rigolo avec des nacelles de grande roue. Achats de souvenirs (les pandas en peluche n’ont pas changé depuis au moins 20 ans ; ils sont toujours identiques à celui que Korrigan m’avait offert l’été de nos 16 ans) et départ.
Nous descendons du 7 à Horton Plaza, apparemment le plus grand mall de la ville. Un petit tour au Hard Rock Café où je rachète mon super gilet de Miami que j’ai dû oublier à Van Horn, et où nous buvons au bar un verre extrêmement bienvenu après toute cette chaleur. Je suis toujours aussi fan du décor, du concept et de la musique. Pendant que nous sommes là, ils passent le « Layla unplugged » de Clapton qui me renvoie brièvement dans une spirale de mélancolie. Mais les magasins m’appellent et je n’ai jamais su leur résister bien longtemps. 2 jeans à $19 pièce chez Levis, une affaire. Un adorable sac à dos avec des motifs pirates rose et turquoise chez Pacsun (va devenir indispensable pour rapatrier mes affaires). Nous dînons dans un fast-food grec – une de mes envies subites, mais nos assiettes mélangées sont très bonnes et plaisent à tout le monde. De retour à l’hôtel, Kris me montre comment utiliser le browser de ma DS. C’est lent et malcommode, mais ça fonctionne et j’en profite pour envoyer un mail à Hawk.
(Photo: koala, zoo de San Diego. Tous en choeur avec moi: "Awwwwww")