Le retour en train me paraît beaucoup plus long que l'aller, sans doute parce que c'est l'heure de pointe et que je suis fatiguée. Nous achetons des plats à emporter au Tobu et les mangeons au ryokan. Pendant le repas, nous discutons avec un couple de Belges qui avaient déjà engagé la conversation hier soir et dont le vol de retour a été annulé. La situation semble s'améliorer en Europe avec la réouverture de plusieurs aéroports dont ceux du sud de la France. Nous croisons les doigts.
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lundi 19 avril 2010
Japon - Enoshima, Hase, Kamakura
Le retour en train me paraît beaucoup plus long que l'aller, sans doute parce que c'est l'heure de pointe et que je suis fatiguée. Nous achetons des plats à emporter au Tobu et les mangeons au ryokan. Pendant le repas, nous discutons avec un couple de Belges qui avaient déjà engagé la conversation hier soir et dont le vol de retour a été annulé. La situation semble s'améliorer en Europe avec la réouverture de plusieurs aéroports dont ceux du sud de la France. Nous croisons les doigts.
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vendredi 16 avril 2010
Japon - Tokyo (Mitaka, Shinjuku)
Je craignais que le Musée Ghibli m'emballe moins la deuxième fois, mais non. Même avec le plaisir de la découverte en moins, la visite reste un enchantement. Ca commence avec le ticket, qui est un morceau de pellicule originale d'un des films maison - donc, une pièce unique et collector! J'ai les mamies qui réparent l'avion dans "Porco Rosso", et Chouchou XXX. Ca continue avec le visionnage d'un petit film de 20 minutes qui n'est diffusé nulle part ailleurs. La dernière fois, c'était l'histoire d'un chiot perdu. Cette fois, ce n'est pas l'histoire du bébé chat-bus comme aurait voulu Chouchou, mais celle d'une fillette qui se promène dans la nature et se confronte à ses esprits. Ca joue beaucoup sur les sons, dont les hiragana correspondant apparaissent à l'écran, et bien qu'un peu dubitative au début, je me laisse vite charmer.
En début d'après-midi, nous repartons Chouchou et moi vers Shinjuku. Au Tokyo Metropolitan Government Building, nous trouvons enfin un office du tourisme et prenons les renseignements nécessaires pour nos futures excursions à Kamakura et au Mont Fuji.
Etape suivante: Sekaido, un magasin de 5 étages entièrement dédié aux beaux-arts. Trois rayons entiers rien que de textures de mangas: Chouchou manque devenir fou face à un tel choix. Nous faisons une pause chocolat chaud au Tully's voisin tandis que dehors se déchaîne une mini-tempête qui retourne les parapluies et trempe presque instantanément les Converse. Il fait vraiment froid, là. Ce soir, nous resterons au ryokan avec 3 demi-douzaines de gyoza, de la soupe miso et notre connexion internet fluctuante.
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lundi 15 septembre 2008
Danemark - Copenhague (Latinerkvarteret, Tivoli)
Douze pas après l'entrée de Frederiksberggade, j'effectue mon premier arrêt dans une boutique de souvenirs gardée par un troll grandeur nature. Cartes postales, timbres, magnets - ça, c'est fait! La suite me désarçonne quelque peu. Je
suis ravie de faire quelques achats chez Accessorize et chez Urban Outfitters (comme si je n'avais pas déjà eu ma dose à Londres en juillet), mais quand je vois se succéder un Body Shop et un Topshop, je commence à me demander où sont les enseignes danoises... Quant aux Magasins du Nord (en français dans le texte), censés être l'équivalent local des Galeries Lafayette, je les trouve à peine moins rébarbatifs que l'Inno. Bon bon bon.
Nous commençons à avoir faim. Je repère sur notre guide un endroit qui semble parfait: le Café du Musée de la Poste, situé non loin de là et qui propose "de la cuisine danoise légère à des prix raisonnables". En chemin, nous nous arrêtons chez Ordning et Reda que Chouchou ne connaît pas et où nous faisons tous deux de menues emplettes. Nous remontons Kobmagergade et finissons par trouver le Café du Musée de la Poste... dont le jour de fermeture est justement le lundi, et qui ne sert que jusqu'à 17h le reste de la semaine. Raté. Après avoir un peu hésité, nous atterrissons dans un buffet chinois - pour ce qui est de goûter la cuisine nationale, on repassera!
Vers 16h, enfin, nous nous posons dans la chambre 204, la "Tokidoki" au décor de manga acidulé. A peine avons-nous retiré nos chaussures que nous commençons à mitrailler chaque détail des murs! Puis nous comatons un petit moment sur le lit.
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lundi 24 septembre 2007
Japon - Yokohama (Minatomirai, Chukagai)
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Nous commençons par une visite au Hard Rock Café situé dans l’immeuble voisin de Queen’s Square. A la boutique, je trouve un très joli sweat noir avec manches et capuche en tricot, plus de petits T-shirts adorables pour mes neveux. Hawk peste parce que les gilets homme sont trop molletonnés pour lui, mais sur mes conseils, il prend tout de même un chouette T-shirt (noir, sobre, avec le nom écrit en lettres de cuir brun). Nous passons ensuite dans le resto voisin. La musique est fort juste comme il faut et toujours aussi excellente – je découvre la reprise de « Another brick in the wall » faite par Korn, et j’adore ! Hawk prend un BBQ bacon cheeseburger et moi des blackened chicken pasta. Tout très bon comme d’hab, et à peine moins de 5000 yens avec les boissons.
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Nous reprenons le métro dans le sens inverse et après un petit cafouillage dû à la confusion entre deux stations, nous ressortons dans Queen’s Square. Nous nous aventurons dans le mini parc d’attractions qui borde le port. Outre une grande roue beaucoup moins jolie que celle d’Odaiba, le manège principal est un grand huit rose dont la méga descente plonge dans un bassin et passe sous terre. C’est assez tentant mais quelques gouttes de pluie me dissuadent de faire un tour dedans. Entre le temps maussade et le fait que nous sommes en semaine, l’endroit est presque désert, limite lugubre. Mais je ne déteste pas cette atmosphère décalée.
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Retour sur Tokyo. Après avoir déposé nos courses au ryokan, nous filons au bar à sushi d’hier soir. Cette fois, je fais un vrai repas. Bon OK, je triche un peu : je ne mange que des sushi de crevettes cuites ou en tempura, plus deux de poisson rôti au chalumeau. (Plus courageux que moi, Hawk tente le pouple cru et semble même trouver ça assez bon.) Mais j’aime bien, et j’aime encore plus l’atmosphère typiquement japonaise du lieu. Un bon moyen de clore ce séjour.
Dernier refaisage de valises. Une tentative pour les soulever me plonge dans un stress intense : à vue de nez, je dirais que la mienne fait 27 kilos et celle de Hawk 32. Pour 20 kilos autorisés par personne, avec généralement une tolérance jusqu’à 25. Si on doit payer le supplément, on va vraiment être mal ! Du coup, le câlin du dernier soir passe à l’as malgré les tentatives insistantes et peu subtiles (mais rigolotes) de mon compagnon de chambre.
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vendredi 14 septembre 2007
Japon - Tokyo (Ginza, Roppongi)
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Notre première tentative pour prendre le métro est laborieuse. A cause de l’immensité de la station de Ginza où nous devons effectuer notre changement depuis la ligne JR Yamanote, nous mettons très longtemps à localiser les distributeurs. Cela fait, l’achat de tickets s’avère aussi simple qu’on nous l’avait dit. 160 yens (environ un euro) pour un trajet de trois stations ou moins, c'est assez raisonnable. Je me demande vraiment pourquoi on s'est fait suer à marcher des kilomètres et des kilomètres lors de mon premier voyage. Peut-être parce qu'Ilona avait peur de ne pas s'en sortir dans le métro...
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C’est triomphants que nous émergeons à la surface… sous un soleil de plomb et dans un quartier bétonné qui ne fait rien pour lutter contre la moiteur ambiante. Le temps d’arriver aux halles, les marchands sont déjà en train de remballer. Déception. Hawk se rattrape un peu niveau photos dans les échoppes des rues environnantes. L’une d’elles vend des animaux empaillés : chat sauvage, paon, aigle royal, crocodile (dont le destin aurait plutôt été de finir matière première chez Hermès) et même… un panda. Fuyons.
Deuxième trajet en métro pour rejoindre le cœur de Ginza. J’appuie sur le bouton d’appel de l’ascenseur dont je crois qu’il va nous emmener à l’intérieur du Sony Building, et la porte s’ouvre sur… des toilettes high tech. Fou-rire incontrôlable. Nous finissons par trouver un accès au bâtiment. La première chose que nous faisons, c’est chercher un endroit où manger car il est déjà midi passé. Ce sera le pub Cardinal, seul resto de l’immeuble à ne pas pratiquer des tarifs prohibitifs. L’intérieur est entièrement tapissé de velours rouge et décoré de pubs anglaises ; c’est assez bizarre de voir une clientèle exclusivement japonaise dans ce genre de décor.
Et plus encore de se voir, servir, à la fin du repas (poisson pour Hawk et spaghetti aux champignons pour moi), une tasse de thé Lipton avec une rondelle de citron flottant à la surface.
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La visite qui suit est assez rapide. Hawk teste les appareils photos et moi les différents modèles d’ordinateur portable Vaio. Je ne suis pas convaincue par leur esthétique, et il se peut donc que j’opte pour un MacBook au prochain renouvellement de mon outil de travail. Une nouvelle PSP doit sortir dans six jours ; elle est en démo au rez-de-chaussée. Hawk aimerait bien jouer avec mais il ne comprend pas comment ça fonctionne.
Nous nous mettons en quête de la Leica Gallery pour laquelle nous n’avons que des indications assez floues. Le hasard fait bien les choses : nous tombons sur le magasin Ito-Ya, mythique papeterie japonaise de huit étages dont je n’avais pas pris la peine de chercher l’adresse au préalable. Une séance de shopping plus tard, nous nous remettons en route. Le Matsushima Building tardant à se matérialiser, nous demandons notre chemin à un serveur qui n’en sait visiblement pas plus que nous. Il s’éloigne. Quelques minutes plus tard, au moment où je finis par réussir à déchiffrer notre plan, il revient vers nous et nous entraîne dans la direction que j’allais prendre. Encore une preuve de la légendaire serviabilité des Japonais.
Nous nous mettons en quête de la Leica Gallery pour laquelle nous n’avons que des indications assez floues. Le hasard fait bien les choses : nous tombons sur le magasin Ito-Ya, mythique papeterie japonaise de huit étages dont je n’avais pas pris la peine de chercher l’adresse au préalable. Une séance de shopping plus tard, nous nous remettons en route. Le Matsushima Building tardant à se matérialiser, nous demandons notre chemin à un serveur qui n’en sait visiblement pas plus que nous. Il s’éloigne. Quelques minutes plus tard, au moment où je finis par réussir à déchiffrer notre plan, il revient vers nous et nous entraîne dans la direction que j’allais prendre. Encore une preuve de la légendaire serviabilité des Japonais.
Après toutes ces déconvenues, je ne suis pas d’excellente humeur, mais fort heureusement, nous parvenons à localiser du premier coup la fameuse statue de Godzilla que Hawk tenait tant à voir. Séance de photos avec Régis et Ernest ; les badauds de la plaza se marrent bien en nous regardant.
Puisque nous maîtrisons désormais le métro, cap sur Roppongi où se situe le musée Mori. Dans le prix du billet est compris l’accès au Tokyo City View, un observatoire sympa bien que moins haut que celui de Sunshine 60. De là, on voit très bien la Tour de Tokyo rouge et blanche. Le gag, c’est qu’en arrivant à l’entrée du musée, nous nous apercevons que l’expo actuelle est consacrée, non pas à de jeunes artistes japonais hype comme je l’espérais, mais à… Le Corbusier. Faire un demi-tour de planète pour me balader à l’intérieur d’une reconstruction de la Cité Radieuse de Marseille où j’ai dormi deux nuits en… 1988 (argh, que le temps passe vite !), c’est quand même pas super malin. Ou alors c’est le comble du snobisme culturel ; j’hésite entre les deux. Juste avant la sortie, il y a bien une installation de Nishi Tatzu : deux horloges dont une projetée sur un immeuble du quartier et une peinte sur le mur dans lequel se découpe la porte de la salle ; les aiguilles de cette dernière fonctionnent et doivent barrer la route des visiteurs chaque fois que l’une d’entre elles passe devant le 7 inexistant. C’est assez mon genre d’art, mais il s’agit hélas de la seule installation de ce type dans le musée. Je ressors un tantinet frustrée.
Comme nous en avons plein les pattes, nous rentrons à Ikebukuro. Arrêt chez Tobu pour prendre de quoi petit-déjeuner demain. Alors que nous nous dirigeons vers la sortie, je retrouve par hasard la boulangerie pseudo-française de luxe qui fait des viennoiseries impossibles à identifier mais généralement bonnes dans le genre presque pas sucré. Nous en achetons trois pour un goûter tardif dans la salle commune du ryokan. Ma brioche fourrée aux morceaux de pomme semi-fondus se révèle être… un petit pain aux cubes de fromage. Décidément, c’est la journée des méprises et bévues en tout genre.
Nous montons dans la chambre rédiger nos journaux respectifs. La pause toilette de Hawk (2ème ou 3ème de la journée) entraîne une discussion assez scato sur mes propres difficultés de transit et m’inspire cette réplique fâchée : « je ne parle pas aux gens qui arrivent à faire caca en voyage ! ». L’exemple de Hawk doit pourtant me motiver, à moins que ça ne soit le numéro de Première emporté aux toilettes, car dix minutes plus tard je triomphe enfin de l’adversité gastro-intestinale. Peut-être devrais-je faire parvenir une interview de Jean Dujardin à M. Abe, l’ex premier ministre japonais qui a démissionné hier et été hospitalisé aujourd'hui pour « troubles gastro-intestinaux fonctionnels ».
Comme nous avons goûté tard, nous n’avons pas très faim. Renonçant à notre plan initial du petit resto de soba, nous passons au Family Mart chercher des plats que nous mangeons dans la salle commune du ryokan. A la caisse, je trouve et achète le n°18 de Nana qui vient juste de sortir. Une lessive à la main et un câlin de fin de soirée nous font de nouveau coucher à minuit passé.
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jeudi 13 septembre 2007
Japon - Tokyo (Harajuku, Ikebukuro)
Réveillée vers 4h15, je me colle derrière Hawk et commence à l'entreprendre alors qu’il dort encore. Bilan : à 4h30, le lutin de la branlette nocturne a fini d’œuvrer et aucun de nous deux ne parvient à se rendormir. Par la fenêtre ouverte, nous voyons le ciel pâlir tandis que nous bavardons à voix basse. Nous finissons par nous lever vers 6h. Après nos ablutions, nous descendons petit déjeuner, mais la salle commune n’ouvre pas avant 7h ! Nous pique-niquons donc dans notre minuscule chambrette : biscuits et ananas acheté hier soir chez Tobu. Le temps de prendre un thé dans la salle commune enfin ouverte et de tirer nos plans pour la journée, nous décollons quand même tôt, avant 8h. Je me dis que l’idéal serait de faire la journée Tsukiji/Ginza, mais je n’ai pas envie d’attaquer par ça. Donc, direction Harajuku.
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Lorsque nous arrivons au Meiji Jingu, les larges allées de gravier sont désertes – mais les insectes qui pullulent dans les arbres alentour font un boucan de tous les diables. C’est étrange mais agréable de se promener à une heure où je suis encore dans mon lit d’habitude. Nous sacrifions au rituel de purification à l’entrée du sanctuaire et visitons rapidement celui-ci. Je trouve toujours aussi émouvantes les milliers de plaques de bois sur lesquelles des visiteurs de tous horizons ont écrit leurs vœux avant de les accrocher au pied d’un grand arbre magnifique. Le sanctuaire lui-même me paraît moins intéressant que la dernière fois : on ne peut toujours pas approcher du tombeau de l’empereur et de sa femme, et avec le temps couvert, on ne voit pas grand-chose de l’extérieur. Des groupes de touristes commencent à envahir la cour juste au moment où nous repartons, nous l’avons échappé belle ! .JPG)
Nous soignons notre petit creux de 9h au MacDo de Takeshita Dori où nous prenons des McGriddles qui ressemblent beaucoup aux Egg McMuffin dont je suis si friande. Raté : à la place du bacon, il y a un burger de chair à saucisse super gras, et à celle du pain, deux ignobles pancakes fourrés d’une sorte de confiture. Beurk, beurk, beurk. Evidemment, Hawk trouve ça délicieux.
Quand nous ressortons, la plupart des boutiques sont toujours fermées. Nous descendons jusqu’au bout de la rue et tournons à droite pour aller récupérer Omotesando. Nous passons une heure et demie chez Kiddy Land à nous extasier devant la papeterie (Xris s’achète un agenda Barbapapa) et le rayon Totoro. Arrivés au dernier étage, drame : il n’y a que deux modèles de grandes Blythe, dont aucun ne me plaît. Je ressors assez dépitée mais parviens à ne pas tirer la gueule. Je dégote, dans un magasin de chaussures voisin, mes fameuses Converse rouges basses pour 400 yens (à peine plus de 25 euros). En revanche, l’Oriental Bazaar est fermé le jeudi, comme par hasard. On dirait que le dieu du shopping m’en veut, et c’est pourtant pas faute de sacrifices réguliers sur son autel. Nous remontons Takeshita Dori où rien ne m’emballe follement ; j’achète juste quelques paires de socquettes rayées ou à tête de mort girly.
Retour en JR au ryokan. J’ai un énorme coup de barre. Nous nous posons dans la chambre avec des canettes fraîches et prenons le temps de rédiger nos notes sur la matinée. Puis nous sombrons l’un après l’autre. Vers 15h, je me force à me secouer et réveille Hawk. Je pensais faire Asakusa cet après-midi mais je n’ai pas le courage de me traîner à l’autre bout de Tokyo ; ce sera donc Ikebukuro Est..jpg)
Nous montons d’abord à l’Observatoire de Sunshine 60. Même si le temps est couvert, on voit assez bien la ville. Nous finissons notre tour d’horizon avec Régis et Ernest dans un Photomaton à décor : le genre de délire qui aurait été impossible avec Bruno. En redescendant, je cherche le Toys ‘R’Us pour voir si par hasard ils n’auraient pas des Blythe. « C’est fermé aujourd'hui », m’informe une des hôtesses du centre commercial. Nous passons dans l’Amlux, ou Toyota Building. Petite déception : les employées toutes de rose vêtues qui dépoussiéraient les voitures en faisant une petite chorégraphie ont disparu. Nous ne nous attardons pas. Je retrouve Animate du premier coup, mais ne vois rien qui m’intéresse dans les goodies. En revanche, nous achetons trois mangas BDSM choisis un peu au hasard dans un rayon qui en compte des centaines. Fin du shopping de la journée chez Tokyû Hands, qui m’affole un peu moins que la fois précédente. Je commence à être vraiment crevée et le retour au ryokan à travers l’immense gare surchauffée est laborieux.
Nouveau comatage dans la chambre. Mais assez vite, Hawk manifeste l’envie de zyeuter une des BD. Ce qui devait arriver arrive. Deux fois. Et il est 21h quand nous ressortons pour aller manger ; Tobu est déjà fermé. Nous tournons un peu en rond dans le quartier car nous cherchons quelque chose de pas trop lourd et si possible des fruits pour demain matin. Nous finissons par prendre des trucs à emporter (salade pour moi, sushi et thé à la poire pour Hawk, ananas en morceaux pour nous deux) dans un kombini. Dînette dans la salle commune du ryokan, devant la télé car la table est déjà squattée. Le temps de nous coucher, il est minuit largement passé.
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Nous soignons notre petit creux de 9h au MacDo de Takeshita Dori où nous prenons des McGriddles qui ressemblent beaucoup aux Egg McMuffin dont je suis si friande. Raté : à la place du bacon, il y a un burger de chair à saucisse super gras, et à celle du pain, deux ignobles pancakes fourrés d’une sorte de confiture. Beurk, beurk, beurk. Evidemment, Hawk trouve ça délicieux.
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Retour en JR au ryokan. J’ai un énorme coup de barre. Nous nous posons dans la chambre avec des canettes fraîches et prenons le temps de rédiger nos notes sur la matinée. Puis nous sombrons l’un après l’autre. Vers 15h, je me force à me secouer et réveille Hawk. Je pensais faire Asakusa cet après-midi mais je n’ai pas le courage de me traîner à l’autre bout de Tokyo ; ce sera donc Ikebukuro Est.
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Nous montons d’abord à l’Observatoire de Sunshine 60. Même si le temps est couvert, on voit assez bien la ville. Nous finissons notre tour d’horizon avec Régis et Ernest dans un Photomaton à décor : le genre de délire qui aurait été impossible avec Bruno. En redescendant, je cherche le Toys ‘R’Us pour voir si par hasard ils n’auraient pas des Blythe. « C’est fermé aujourd'hui », m’informe une des hôtesses du centre commercial. Nous passons dans l’Amlux, ou Toyota Building. Petite déception : les employées toutes de rose vêtues qui dépoussiéraient les voitures en faisant une petite chorégraphie ont disparu. Nous ne nous attardons pas. Je retrouve Animate du premier coup, mais ne vois rien qui m’intéresse dans les goodies. En revanche, nous achetons trois mangas BDSM choisis un peu au hasard dans un rayon qui en compte des centaines. Fin du shopping de la journée chez Tokyû Hands, qui m’affole un peu moins que la fois précédente. Je commence à être vraiment crevée et le retour au ryokan à travers l’immense gare surchauffée est laborieux.
Nouveau comatage dans la chambre. Mais assez vite, Hawk manifeste l’envie de zyeuter une des BD. Ce qui devait arriver arrive. Deux fois. Et il est 21h quand nous ressortons pour aller manger ; Tobu est déjà fermé. Nous tournons un peu en rond dans le quartier car nous cherchons quelque chose de pas trop lourd et si possible des fruits pour demain matin. Nous finissons par prendre des trucs à emporter (salade pour moi, sushi et thé à la poire pour Hawk, ananas en morceaux pour nous deux) dans un kombini. Dînette dans la salle commune du ryokan, devant la télé car la table est déjà squattée. Le temps de nous coucher, il est minuit largement passé.
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