.jpg)
Cette fois, c’est un chauffeur de taxi russe qui nous conduit à l’aéroport. 38 lbs pour mon sac rouge et 24 pour le noir ; pas étonnant que j’aie eu du mal à les trimballer ces deux dernières semaines. Je craignais de devoir payer un excédent de bagages, surtout sur un vol intérieur, mais non. L’employé d’United qui nous a pratiquement arraché nos sacs dans sa hâte de nous les faire enregistrer m’ayant dit que les repas étaient payants à bord de l’avion, nous déjeunons au food court avant d’embarquer. Je prends un chicken & veggie udon et, par association d’idées, réponds au texto de l'Homme qui me demande si je veux récupérer la table basse du salon, car on lui en a donné une autre. « Non merci. J’ai passé toutes ces dernières années à essayer de te convaincre de la changer. » Je ne sais pas si je dois en rire ou en pleurer, vraiment. Le gag n°2, c’est qu’à peine installés dans l’avion, on nous sert l’apéro et un plateau-repas.
Le voyage de 5h30 passe relativement vite et sans encombre. A la sortie de l’aéroport, plusieurs pseudos dispatchers nous proposent la course pour Manhattan à un prix faramineux, alors qu’un yellow cab officiel prend $49 tout compris. Nous arrivons à notre hôtel (non loin du Chrysler Building) vers 23h heure locale. La chambre ne paye pas de mine et les deux lits se touchent presque ; ne parlons même pas de la salle de bain ! Couchés vers 00h15, mais parlé dans le noir pendant presque une heure.
(Photo: cable car et baie de San Francisco; au loin, Alcatraz)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire