jeudi 25 mai 2006

USA - San Francisco (Californie)


Je me réveille – hirsute, car je me suis couchée hier avec les cheveux mouillés – dans ma ville préférée au monde, youpi ! En plus, il fait soleil et le vent est beaucoup moins froid que l’an dernier en août.
Nous petit déjeunons au Starbucks en face de l’hôtel : chocolat pas bon et la moitié d’un apple fritter pour moi. Puis nous marchons jusqu’à l’arrêt de cable car le plus proche. Nous descendons au terminus, près de Fisherman’s Wharf. Un peu de shopping ; mangé le midi dans un buffet pizza/pâtes/salades avec une jolie vue sur le Pier 39 envahi par les otaries.
A 14h, les autres partent en bateau visiter Alcatraz, et je me balade seule en attendant leur retour. Achat de deux T-shirts au Hard Rock Café – enfin ! Beaucoup plus de choix qu’à Tokyo où il n’y avait que des modèles assez classiques. Pause chez Boudin pour boire un thé, écrire mes dernières cartes postales et mettre ce carnet à jour. Après ça, je tourne dans le quartier avec une humeur assez maussade car j’aimerais être en train d’explorer des quartiers moins touristiques de la ville.
A 17h, je récupère les autres. Nous poussons à pied jusqu’à Ghirardelli qui bien que sis dans un très joli bâtiment ne contient rien d’intéressant pour nous. Je dois me retaper avec le reste du groupe les rues que j’ai déjà faites. Mes pieds commencent à me faire mal et j’en ai vraiment marre. Nous rentrons enfin à l’hôtel en bus (extrêmement brinquebalant et fun ; je n’arrête pas de glisser sur les sièges en plastique).
Plus tard, nous reprenons le bus pour aller au Loris qui nous avait beaucoup plu l’an dernier. Et à la fin du repas, nous prenons notre revanche sur le flipper qui nous avait mis minables. Enfin, si on veut : 26000 pour Autre Moi, 9000 pour Kris, 14000 pour moi et 11000 pour Junior, on n’est pas encore tout à fait des champions ! Le bus du retour se fait attendre assez longtemps, et le vent est vraiment très froid. Arrivée à l’hôtel, je m’écroule à plat ventre sur le lit et me mets à pleurer le plus silencieusement possible. Vide béant à l’intérieur.

(Photo: les otaries du Pier 39)

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