mardi 25 septembre 2007

Japon - retour en France


Réveil à 7h30, lever à 8h, arrivée à la gare d’Ikebukuro vers 9h après avoir copieusement transpiré dans les escaliers avec nos mastodontes à roulettes. Le voyage en Narita Express jusqu’à l’aéroport se déroule sans encombres. La pesée des bagages, en revanche, confirme mes craintes : 26,5 kilos pour ma valise et 28,5 pour celle de Hawk. L’employée nous annonce que nous n’avions droit qu’à 50 kilos à deux et que ça fera 30800 yens de supplément (environ 200 euros). Glups. J’essaie de faire valoir que nous pourrions facilement répartir les quatre kilos excédentaires dans nos bagages cabine et que le poids à transporter par l’avion resterait le même. « Aaah, mais vous avez des bagages cabine ! » s’exclame l’employée en nous faisant signe de les poser aussi sur la balance. Je blêmis en voyant s’afficher un bon 68 kilos. Alors, contre toute attente, l’employée nous fait un grand sourire et nous dit que c’est bon, il n’y a pas de supplément. Je ne comprends rien de rien et ouvre la bouche pour réclamer une explication, mais Hawk me fait vigoureusement signe de la boucler. Bon. L’essentiel, c’est qu’on n’ait rien payé en plus, je suppose.
Je change 20 euros (à 157 yens l’unité, un record !) pour faire quelques derniers menus achats, dont une ravissante fraise en peluche et deux nouveaux parfums de Kit-Kat : melon et pêche, plus deux ou trois magnets parmi lesquels les fameux sushi que je désespérais de retrouver un jour. Je réalise aussi que ceux que j’ai pris pour mes parents ne sont pas les bons, mais il est trop tard pour y remédier. Last but not least, la mignonne palette de gloss Dior que j’avais hésité à acheter à l’aller est moins chère ici, woohoo !
Nous embarquons à bord d’un avion du même modèle qu’à l’aller (assez petit, donc). Nous sommes de nouveau près d’un hublot et le monsieur assis à côté de moi change de siège après le décollage : grand luxe. Je lis le Glamour et le Cosmo anglais achetés à prix d’or dans l’aéroport (1500 yens chacun !) pendant que Hawk, qui avait toujours boudé ce jeu, découvre le Tétris sur la console intégrée dans son fauteuil. Il passe quasiment l’intégralité des douze heures de vol à essayer de s’améliorer. Le voyage me paraît plus long dans ce sens, sans doute parce que je ne dors pas. J’ai beau écrire un peu, je finis par m’ennuyer et par sentir la fatigue de cette journée prolongée par sept heures de décalage horaire.
Nous nous posons à Paris avec une demi-heure de retard dû à des vents contraires. Il est plus de 20h ; la nuit est tombée, il fait froid et nous sommes crevés. Tout est mal indiqué dans Roissy et les chauffeurs des navettes sont super désagréables : pas de doute, nous sommes bien en France. Sur le chemin de l’hôtel, nous restons bloqués un très long moment à la hauteur du terminal 2 pour une raison que personne ne daigne nous expliquer. Enfin, nous arrivons au Suitehôtel où nous avons la bonne surprise de découvrir que notre chambre est une mini suite avec une salle de bain géniale, un chouette coin salon, un micro-ondes et de quoi préparer thé ou café. Dommage que nous soyons trop fatigués pour en profiter dignement… Demain je devrai me lever à 6h pour regagner Roissy, traverser Paris en RER et prendre à Orly un avion qui me ramènera chez moi, loin de Hawk pour la dernière fois.

1 commentaire:

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